Mains de lumière

     60x80 cm

Mains de lumière ( Mains de gai-ris-on)

Deux mains sont ouvertes vers le ciel. Elles sont ancrées au sol et s'élèvent , telles deux arbres qui s'élancent. Elles irradient de l'énergie, soleil central qui se propage alentour. C'est une énergie de guérison que les mains de la guérisseuse véhiculent. Cette énergie rayonne, c'est une énergie de vie, qui , telle un phoénix, s'apprête à soulager les maux et revivifier, faire renaitre la vitalité. Le phoénix de lumière a les ailes ouvertes comme les mains, joli parallèle. On pourrait les appeler les mains Phoénix...

Tout autour de cette lumière à l'aura chaleureuse et chaude qui se diffuse en ondes d'or, il y a du parme , du violet, du turquoise, et du rose. Couleurs de guérison, de spiritualité, de douceur … Telle une voûte céleste, tel l'univers qui entoure le soleil, constellé de milliers d'étoiles porteuses d'espoir et de lumière.

A la base, autour des mains, il y a comme un tronc , avec de part et d'autre des racines. C'est la force de l'ancrage, les racines de l'Arbre de Vie, arbre qui s'élève autour des mains pour finir en voûte céleste ! Tout commence avec les racines, passe par le cœur et le soleil central, et finit au sommet par une étoile d'espoir et de guidance... Corps, cœur, esprit.

La queue du phoénix fait penser également à la spirale de l'ADN, et le Phoénix ressemble également au Caducee des pharmaciens . Pour la petite histoire, « le caducée  pharmaceutique représente un serpent qui s’enroule, se redresse et renverse sa tête vers le bord d’une coupe. La coupe est celle dans laquelle Hygie, fille d’Esculape et déesse de la santé, donnait à boire au serpent du temple d’Epidaure. C’est vers le IXème siècle avant Jésus-Christ que s’établit en Grèce le culte d’Asklepios, dieu de la médecine représenté avec un bâton autour duquel s’enroule un serpent. Le serpent serait lié à l’art de guérir, à la fécondité et à la vie. Le bâton représenterait l’axe du monde, l’arbre de vie ou une arme magique. Le bâton d’Esculape aurait été utilisé pour la première fois comme emblème de la Médecine au VIème siècle. »